Ce programme veut porter sur plus d’un million d’hectares sur des massifs forestiers français détenus à 75% par des propriétaires privés.
Pour le reboisement, des moyens importants doivent être consacrés à la filière des graines et plants, et à l’émergence de nouvelles essences, plus résistantes à la sécheresse.
Un rapport du Conseil spécialisé en gestion durable des forêts, préparé en collaboration de l’Office national des forêts (ONF), les communes et les entreprises du secteur du bois, propose un plan d’actions pour franchir le cap de l’adaptation au changement climatique.
Les experts estiment que, dans les dix prochaines années, 15% de la forêt métropolitaine nécessitera « une action volontaire » sur différents plans : renouvellement d’arbres vulnérables ou incendiés, boisement de terres agricoles délaissées… Cela sur 2,6 millions d’hectares.
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