Baptisée DragonFly, cette technologie doit apporter des réponses multiples à partir d’une combinaison de capteurs, d'algorithmes de vision par ordinateur et de calculs de guidage robustes.
Airbus travaille sur un système pouvant offrir une assistance avancée allant des alertes au sol jusqu’aux déroutements d'urgence en cas d'incapacité de l'équipage. Les avions pourront effectuer un atterrissage automatisé, y compris dans des conditions météorologiques très difficiles. Et même sur des aéroports sans équipements spécifiques pour l’atterrissage. Grâce à l’intelligence artificielle, une communication directe pourra être établie, entre le cockpit sans pilote et le contrôle du trafic aérien.
Le nom DragonFly (libellule en français) veut illustrer le fait que la technologie reproduit la capacité de l'insecte à reconnaître certains endroits. Inspirés par le biomimétisme et la nature, les systèmes en développement sont conçus pour identifier les caractéristiques du paysage qui permettent à un avion de ligne de « voir » et de manœuvrer en toute sécurité de manière autonome dans son environnement.
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