C‘est donc un laboratoire allemand, Boehringer Ingelheim, qui a été choisi par le gouvernement français au détriment du vaccin mis au point par l’entreprise girondine Ceva. Une décision d’autant plus étrange que les doses viendront d’Amérique Latine.
Pour cette première campagne, les professionnels devront prendre en charge 15% des coûts. Le vaccin sera administré directement dans les élevages, par voie sous-cutanée à 10 jours puis à 28 jours.
Le vaccin vise une « réduction de l’excrétion du virus dans l’environnement » ainsi qu’une diminution de la contamination d’un canard à un autre canard. Plus de 500.000 canards vont être vaccinés dans le Sud-Ouest.
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