Géographiquement, s’il est installé en pleine campagne, au cœur de la Communauté de communes Bastides de Lomagne, cette pépinière d’entreprises se trouve à 30 minutes de Toulouse et de son aéroport. Ce qui garantit à ceux qui viennent s’installer ici une vie au grand air, loin des problématiques de la Ville Rose pourtant si facile d’accès, avec des modalités de location flexibles et des tarifs incomparables.
Côté installation, Le Site propose des espaces de travail adaptés à chaque profil : des bureaux (5 € HT le m²) de 9 à 25 m² - équipés ou non – sur 800 m², des ateliers mécaniques (3 € HT le m²) climatisés et surtout modulables sur 1 400 m², et un espace coworking.
À cela s’ajoutent trois salles de réunion (jusqu’à 20 personnes) ainsi que des espaces d’échanges qui permettent de discuter avec les “collègues” de bureau au moindre doute, de se défouler le temps d’une partie de baby-foot, ou de fêter les premiers succès. Sans oublier l’accompagnement sur mesure prodigué par des chefs d’entreprises chevronnés et toute sorte d’experts en RH, financement, sous-traitance…, et une vraie communauté du partage d’expérience.
La priorité est donnée aux entreprises industrielles, car Philippe Jaubert sait que ce sont celles qui génèreront par la suite plus d’emplois que les services ou les commerces, et celles tournées vers l’agro-alimentaire y sont bien représentées. Le 5 novembre, des Portes ouvertes centrées sur les produits Bio du Site ont été organisées.
« Les Délices Grecs », les « Foliz Kombucha », les rhums et armagnac des « Arrangeurs Français » ont toutes poussé – et bien poussé – ici, au point d’afficher à elles seules une vingtaine d’emplois créés depuis leur installation. La petite dernière, « Les petites manies », des biscuits bio et bons, sait déjà qu’elle est très bien entourée pour suivre le chemin tracé par ses « grandes sœurs »… loin du tumulte des grosses agglomérations.
Le Site, c’est aussi Mobexi, 20 emplois, Doursat, 5 emplois, etc., soit au total 20 entreprises, créées par des locaux, qui ont généré en 4 ans 65 emplois, dans un village de moins de 1.000 habitants. Un succès que l’on peut qualifier de total.
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