Le bureau d'études Egis Rail planche ferme. Lui qui se creuse le ciboulot à propos des liaisons ferroviaires Nouvelle Aquitaine et Occitanie, fait tourner ses neurones à bloc. Résultat, des liaisons que l'on croyait vouées à l'oubli pourraient bien trouver un nouveau départ. En voiture, avec ou sans Simone !
Entre Auch et Agen, ou Mont-de-Marsan et Tarbes, le train-train quotidien pourrait refaire son apparition. Résultat mi ou fin octobre, pour "une analyse argumentée des moyens opérables". Comprendre si les possibilités existent, les besoins également, combien ça coûte, et qui s'en occupe.
Chez Gersycoop, et sa filiale transport Gersyfret, on suit tout ça de près, de très près. Car au bout du tunnel (de chemin de fer), la possibilité de faire circuler les céréales bien mieux que par réseau routier. Quand on sait qu'un train de 1.200 tonnes de blé représente 50 camions sur nos routes, le calcul est vite fait. Sans évoquer l'autre avantage, celui de vider les silos vite faits, et de distribuer la marchandise sans perte de temps.
Alors, il faut attendre mi ou fin octobre pour connaître les décisions définitives, mais la volonté générale donne de l'espoir. Après les céréales killers, les céréales transporteurs ? On l'espère.
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