Il s’agit d’un exploit architectural combinant une optimisation très efficace de l’espace et une capacité à résister aux tempêtes et même aux tsunamis. Cette cité flottante autosuffisante pourrait être construite dès 2030 pour accueillir 10.000 habitantes et 30.000 touristes, avec des installations hors nome et même des… fusées pour partir dans l’espace (on ne sait jamais !).
On y trouvera un anneau avec des logement et des bureaux pour les résidents, des hôtels pour les touristes, des espaces verts, des productions alimentaires, une école, des stades et équipements sportifs, des hôpitaux et des cimetières, un centre de données sous-marin, etc.
Pour N-Ark, cette cité s’inscrit dans un vaste programme baptisé New Ocean, soutenu par des industriels, des universités et le Gouvernement. La start-up souligne les impacts attendus : répondre aux risques de catastrophes naturelles, améliorer l'environnement marin et même accueillir les réfugiés marins, développer de nouvelles technologies intelligentes liées à ce type d’espaces flottants, etc.
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