Ce mois-ci, le déficit pluviométrique devrait dépasser 50%. Février s’annonce comme « le mois le plus sec jamais enregistrés depuis le début des mesures en 1959 », a déclaré Météo-France.
Au-delà, c’est l’accumulation de telles périodes qui préoccupe et qui semble confirmer les prévisions des spécialistes de l’ONU concernant le réchauffement climatique. Quant au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), il a exprimé son pessimisme sur le niveau de ces nappes souterraines pour cet été, alors qu’elles sont indispensables pour alimenter « deux tiers de l’eau potable et un tiers de l’irrigation agricole ».
Des mesures doivent être mises en place dès lundi prochain pour tenter d’éviter une situation critique l’été prochain.
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