C’est-à-dire une centaine d’entreprises adhérentes, représentant 80% de l’activité économique de la filière bois de la région.
L’occasion pour le nouveau président, François Guiraud, de présenter les grands axes de l’action de la de la FIBA, suite aux préconisations du rapport Roman-Amat concernant la pénurie du pin maritime en Aquitaine. Le président en avait alors énoncé trois, avec l’amélioration de la compétitivité des PME, l’adaptation de la récolte et la mise en place d’une interprofession régionale avec les anciens Poitou et Limousin, devenus complémentaires.
Face au manque actuel de visibilité, la réactualisation des ressources est à l’ordre du jour de la profession. De même que l’anticipation. Par exemple, dans le domaine des nématodes, ces vers ronds parasites (la FIBA vient d’ailleurs d’adhérer à la Caisse phytosanitaire du Sud-Ouest). L’objectif est aussi d’accélérer la transition numérique, grâce au système ForetData, permettant d’automatiser et de dématérialiser les démarches de déclaration de chantier.
Dernier souhait : que les adhérents se rapprochent de Xylofutur, installé à Gradignan, une filière qui représente 16 millions d’hectares et 440.000 emplois, ainsi que du programme Usine du futur, dont l’ambition consiste à redonner des marges de manœuvre aux entreprises en les accompagnant vers l’excellence opérationnelle.
En résumé, une profession dirigée vers l’avenir.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire