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    Pas de fêtes de Pampelune, c’est officiel !

    Comme nous l’avions annoncé, l’immense temps fort festif de l’été est annulé. La nouvelle a été confirmée par la capitale navarraise…
    Cet événement mondial

     accueillait chaque année plus de 3 millions de personnes dans une ambiance exceptionnelle.

    Les festivités débutent traditionnellement le jour de la San Fermín, le 7 juillet, avec le célèbre décompte : « Uno de enero, dos de febrero, tres de marzo, cuatro de abril. Cinco de mayo, seis de junio, 7 de julio San Fermín ».

    Le coup d’envoi est donné avec le Chupinazo, alors que le 14 juillet, à minuit, le « Pobre de mi » entonné par la foule à la lueur des bougies, signe la clôture.

    Le toro est au coeur de la San Fermin. Chaque journée débute par l’incontournable encierro, à 8h, où la foule essaye de prendre de vitesse des bestiaux de plus de 500 kilos. Les toros de la corrida du soir sont lâchés dans les rues pour accomplir un parcours de 848,6 mètres de l’enclos de Santo Domingo jusqu’aux arènes.

    Les lettrés et les nostalgiques se souviennent, en parcourant les ruelles de la capitale navarraise, de James Michener et de son « The Drifters » et bien sûr d’Ernest Hemingway qui y trouva l’inspiration de son livre « Le soleil se lève aussi ».

    Ils cherchent les vestiges de la Casa Marceliano, la terrasse du café Iruña (qui n’a pas changé), le restaurant Las Pocholas où il dînait avec Antonio Ordoñez et surtout l’hôtel La Perla (chambre 217), et l’hôtel Quintana, deux lieux où il logeait à chaque venue.

     

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