Il était une fois, en 1845, un confiseur suisse du nom de David Sprüngli-Schwarz qui fonda son entreprise à Zurich. En 1899, l'entreprise racheta la manufacture de chocolat du grand Rodolphe Lindt, et devint alors, Lindt et Sprüngli.
En 1920, dans une petite ville des Pyrénées, Oloron Sainte-Marie, on installa la "chocolaterie" et l'on inventa un délicieux bonbon, fondant comme la neige, doux comme un vent frais, et chocolaté en diable, il s'appelait "le pyrénéen".
Ce qu’il faut savoir…
En 2014, forte de ses succès internationaux, l'entreprise Lindt s'offrit l'Américain Russell Stover, ou du moins ses boîtes de chocolat, pour la bagatelle de 1,5 milliard de dollars, histoire aussi de s'implanter encore mieux aux États-Unis et augmentant sa part de marché de 10%.
Le chocolatier mondialement célèbre a sa seule entreprise française installée à Oloron-Sainte-Marie, elle qui est aussi sa deuxième filiale européenne. Et les jours où la pluie menace, dans la petite cité béarnaise, ça sent le chocolat !
Chez Lindt & Sprüngli, on parle d'Oloron en évoquant : « Un centre d'excellence en matière de production de chocolat à fort taux de cacao avec une compétence de pointe dans la production de tablettes de chocolat ».
En 2013 et 2014, de nombreux emplois y ont été créés, ce qui amène l'effectif oloronais à 1.200 personnes, 600 permanents et 600 saisonniers. Oloron, c'est certes une unité de production mais aussi un magasin d'usine, « La maison des Maîtres Chocolatiers », avenue de Lattre de Tassigny, non loin de l'entreprise, où vous pourrez trouver des produits irréprochables, dans un emballage simplifié préservant l'environnement, et à des tarifs préférentiels.
Le double avantage pour les locaux : une entreprise économiquement florissante, et des chocolats toute l'année...
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