La mode japonaise arrive : Sayonara !

On ne va pas le faire à l’esbroufe, jusqu’à ce que nous nous penchions avec énormément d’implication sur Uniqlo, ce nom ne nous disait rien du tout. Mais rien du tout du tout du tout. Il faut dire que la mode, pour une partie de la rédac, ça consiste à changer une fois par an de paires de tong, qu’elles soient usées ou pas. Alors, la mode japonaise…

Eh ben on avait tout faux. Parce l’entreprise nippone est en train de faire un tabac dans le monde, et il était temps qu’elle mette un pied en France. Quoique ce soit déjà le cas à Paris, à Marseille et à Strasbourg. Mais rien sur nos contrées, c’est pourquoi sa renommée n’était pas encore parvenue à nos oreilles.

Plus d’excuses à partir de maintenant, puisque le géant japonais (1.700 magasins, 17 pays couverts premier en ventes et en profits du côté de Tokyo) vient d’annoncer son intention de s’établir en nos frontières, à savoir à Bordeaux ainsi qu’à Toulouse au Centre commercial Blagnac, sur 625 m2.

Au fait, on y trouvera quoi, chez ces Uniqlo ? Des collections de vêtement « à vivre » hommes, femmes & enfants, réputées d’un « confort absolu, d’une qualité irréprochable et d’un style universel pouvant convenir à tous » qu’ils assurent.

D’ailleurs, si Uniqlo fait du made in Japan, elle s’est assurée cette année le concours d’Inès de la Fressange, qui s’y connaît en matière de style universel ; sont ainsi annoncés des doudounes urbaines ultralégères et multicolores – il est vrai qu’elles sont à la mode – et des cachemires « à prix d’ami ». Mon rêve de posséder un ami japonais va enfin se concrétiser.

Ne boudons pas notre bonheur ; rien qu’à l’idée de pouvoir alterner Uniqlo, Tati,  Zara et Tex, la marque de Carrefour, nous frémissons de plaisir et allons de ce pas demander une augmentation à notre patron.

Boss, faudrait que je change de fringues, pourriez pas…