Programmée du vendredi 10 au dimanche 12 juillet, avec l’Association sportive automobile Armagnac-Bigorre, l’épreuve sera organisée sur le plan technique par un président délégué, Franck Puchouau.
Le rallye changera donc de nom pour sa 31e édition. Une évolution qui illustre la volonté d’en réduire sensiblement l’empreinte carbone. Le parcours a été adapté pour limiter les distances à parcourir entre les spéciales et avec les étapes du soir. Ainsi, les voitures partiront de Mont-de-Marsan et arriveront à Nogaro, au lieu de revenir chaque jour à Eauze. À noter que, cumulés, les temps des épreuves totalisent seulement 1h30. L’arrivée du rallye sera jugée à Nogaro et les prix seront remis sur le circuit.
Les organisateurs du rallye seront toujours plus attentifs à la sécurité des spectateurs, avec des zones bien délimitées pour le public.
Les pilotes engagés dans le rallye apportent des retombées économiques tant pour le territoire de l’Armagnac landais que pour celui de l’Armagnac gersois : un grand nombre de nuits chez les hébergeurs, d’importants achats de produits du terroir, la découverte de l’Armagnac par des coureurs venus de tout le pays et de l’étranger.
À quoi il faut ajouter les 50 km de chemins entretenus toute l’année par les quelque 150 bénévoles du rallye. Ces chemins ne sont dédiés aux voitures que pendant un week-end, et ils servent toute l’année aux randonneurs et vététistes. Sans le rallye, ils seraient retournés à la nature.
Bravo donc à Michel Capin et à son équipe pour cette relance d’un rallye très populaire, qui constitue un magnifique spectacle entièrement gratuit. Pour sa part, le président des Échappements élusates prendra part, comme en 2019, aux 24 heures tout-terrain du Portugal en novembre 2020.
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Article réalisé en collaboration avec le Journal du Gers et Roland Houdaille
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