Son objectif premier était de développer un lieu dédié au dressage de chevaux. La fondatrice, Héléna Gayral, avait construit en parallèle une salle de réception, pour accueillit de nombreux rassemblements, des mariages, des anniversaires, des séminaires, etc.
Bruno Lasaosa souhaite poursuivre cette évolution pour la nouvelle version du Campo. Ainsi, la salle a été agrandie et repensée, des balades en calèches seront proposées, des spectacles taurins seront programmés dans ses arènes privées de près de 600 places.
Le site est également prêt à accueillir des séminaires d'entreprises, des événements privés ou encore des animations pour les curistes. Tout cela quand la situation sanitaire le permettra.
Quant au restaurant du domaine, toujours fermé en raison de l’épidémie, il déclinera une cuisine hispanique, avec son chef cuisinier qui attend avec impatience le feu vert des autorités.
L'ADN est conservé…
Le domaine gardera sa tradition d’élevage de chevaux qui a aussi été incarnée par l'arrivée de Thierry Vergez, plusieurs fois titré au niveau international en équitation de travail. Il reprendra même la gestion du site jusqu'à la reprise par Bruno Lasaosa.
Ce dernier souhaite préserver cet ADN du domaine. Les écuries, avec une vingtaine de boxes, ont été conservées et rénovées. Tout comme le ruedo d'une quarantaine de mètres. Quant au manège couvert, il permettra d’accueillir des spectacles et autres représentations.
La nouveauté, pour ce Campo version 2.0, vient de l’installation d'une ganaderia. Pendant cinq ans, cette collaboration visera à élever les vaches et les toros dans la plus pure tradition espagnole.
Avec ce projet, orienté vers la relance de l'événementiel au Campo et le retour de professionnels de l'élevage d’animaux, le trio compte bien faire de ce site un lieu incontournable et unique.
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