L’enjeu est d’écouter et de comprendre le langage des cachalots, utilisant des sons baptisés « codas ». Les chercheurs tentent de décrypter les enregistrements avec une technique de traitement naturel du langage. Pour cela, il faudra réaliser des milliards d’enregistrements, à l’aide de micros sous-marins placés à des endroits stratégiques. Des robots aquatiques seront mis au point pour rester au contact des cachalots.
Informations sur le site internet du projet CETI
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Bientôt, on pourra parler avec les cachalots ?

Le projet Cetacean translation initiative (CETI), en partie développé à Toulouse, compte sur l’intelligence artificielle pour réussir à communiquer…
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