« Pour réagir à la fermeture des restaurants lors de la crise sanitaire en 2020 et 2021, j’ai lancé avec mes équipes une ligne de burgers Premium « Jòia Burger », offerte à la vente à emporter et à la livraison. Lors de la réouverture des restaurants, c’est avec beaucoup de regret que nous avons abandonné cette activité autour de l’offre burger tant nous avions pris plaisir à adapter cette proposition de street-food à nos valeurs et à notre vision de la gastronomie. J’ai maintenant trouvé le lieu idéal pour exprimer cette nouvelle facette de Jòia et répondre à la demande insistante des nostalgiques de nos burgers. Ce lieu est le 16 rue de la Michodière » se réjouit Hélène Darroze.
Au Jòia Bun, la cheffe proposera un lieu et une configuration Diner où chacun a la possibilité de reconnaître « l’ambiance des diners américains, vivante et authentique, ouverte sur des pièces animées et habitées que sont la cuisine et le bar tout en cohabitant avec une atmosphère très française, élégante et chaleureuse ».
Pour elle, la cuisine du burger repose sur les mêmes principes de base que ceux de la gastronomie : « qualité des produits, respect des saisons et des circuits courts, authenticité des goûts, générosité dans l’offre, le tout surligné d’un clin d’oeil à ses origines basco-landaises.
Ainsi, 95% des produits cuisinés seront français, et tout particulièrement les produits élémentaires composant les burgers : les différentes viandes - même le boeuf wagyu - les poissons ou crustacés, les fromages, les fruits et légumes… Les produits seront de saison. C’est pourquoi il n’y aura pas de tomate fraîche dans les burgers hormis entre juin et octobre.
Hélène Darroze continuera de travailler avec des producteurs historiques tels la maison Huguenin à Paris pour la viande, Beñat pour le fromage à Saint-Jean de Luz, la maison Dupérier pour le foie gras de canard, la maison Kaviari pour les crustacés…
Tout sera « fait maison » selon des recettes personnalisées autour du terroir basco-landais : ainsi les sauces (ketchup, barbecue, mayonnaise) seront cuisinées selon une recette unique, le pain sera fabriqué et cuit dans la pâtisserie centrale du groupe au 4 rue d’Assas, de même que toutes les pâtisseries…
Tout sera « cuisiné minute » : les burgers seront cuits à la demande, qu’elle soit sur place ou en commande, tout comme les salades qui seront assemblées et assaisonnées dans l’instant. Le packaging sera éco-responsable.
La carte présentera aussi des snacks pour mettre en appétit : le Fried Chicken de Jòia et des croquetas de « mac and cheese ». Il sera proposé 7 burgers : 3 au boeuf d’Aubrac et 1 au boeuf wagyu, 1 au poulet jaune des Landes, 1 pescétarien et 1 végétarien. Tous seront accompagnés des savoureuses et iconiques pommes de terre croustillantes de Jòia saupoudrées de romarin frit et brebis basque. Il est également prévu 3 salades, ainsi que des cookies, des glaces à l’Italienne et une ligne de maritozzo, véritable « guilty pleasure » d’Hélène.
Les prix des burgers varieront de 14,5 € à 25 € et le burger « Festayre » d’exception s’affichera à 45 €. Le Jòia Bun sera ouvert 7 jours sur 7, tout au long de l’année :de 11h30 à 15h et de 18h à 23h en semaine, en continue les samedis et dimanches. L’ambiance est annoncée festive et musicale autour de playlists ciblées.
Il est prévu 48 places assises, avec la possibilité de manger seul au comptoir ou en famille sur de larges tables. L’offre sera disponible en pick-up à la fenêtre du restaurant et en livraison avec Ubereats.
On en salive déjà.
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