Les chercheurs de l’Institut toulousain des maladies infectieuses et inflammatoires ont annoncé avoir fait un pas décisif vers la préparation d’un vaccin qui pourrait changer le quotidien des patients, en leur permettant d’éviter des traitements complexes et contraignants dans les cas les plus sévères.
Chez les asthmatiques, la présence d’allergènes (acariens, graminées, pollens) peut déclencher « des réactions aboutissant à une hyperréactivité des voies respiratoires et une surproduction de mucus », selon l’Inserm. Le vaccin doit permettre de réguler l’inflammation des bronches, pour faire disparaître tout symptôme.
L’espoir est aussi que ce vaccin puisse aussi être efficace contre d’autres pathologies allergiques, comme les dermatites atopiques et les allergies alimentaires.
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