Une belle (et légitime) reconnaissance pour tout un écosystème de PME et de startups innovantes qui devraient y gagner en visibilité, notamment à l’international.
On connaît désormais la composition de l’équipe de pilotage de cette nouvelle communauté. Son board comprendra les trois responsables de la Technopole Pays Basque, d’Estia Entreprendre et du Village by CA, et avec eux 9 entrepreneurs et dirigeants des dynamiques sociétés de la « tech » d’ici, dont le président Hubert Forgeot, CEO d’Aguila Technologies, société de Bidart spécialisée dans les systèmes électroniques communicants, en particulier pour le monde du transport.
Sont également représentées au sein de ce board des entreprises déjà bien connues de nos lecteurs, de Coleen et ses vélos à Hexa Surfboard et ses éco-planches de surf imprimées en 3D, en passant par Voltaire Group, Expateo, Lynxter, Wikicampers, Netick et Poplidays. Une belle équipe de dirigeants opérant dans des secteurs variés et au sein de laquelle on ne doute pas qu’émergeront rapidement de bonnes idées.
Premiers travaux dès cette année…
À côté de ce board, deux sièges de membres permanents « ont été attribués à des structures qui sont actuellement au cœur de l’animation entrepreneuriale et dans lesquels on retrouve un certain nombre de startups », à savoir les clusters Pays Basque Digital et Eurosima. Enfin, la mission de « community lead » sera assurée par Neela Tibayrenc, coordinatrice de Pays Basque Digital. Celle-ci « pilotera la mise en œuvre opérationnelle des actions définies par le board ».
Par ailleurs, cette nouvelle équipe explique qu’elle « souhaite impliquer tous les entrepreneurs qui le souhaitent, pour former le collectif French Tech Pays Basque. Ce collectif aura pour objectif de concrétiser les actions French Tech Pays Basque de manière plus opérationnelle. Pour cela, le collectif sera organisé sous forme de groupes de travail par thématiques-clés pour traiter les sujets et définir des apports pratiques au service des entrepreneurs », et tout ceci dès cette année.
L’équipe précise aussi que cette dynamique French Tech « n’est pas là pour remplacer ou se substituer aux institutions d’accompagnement des startups actives sur le territoire. La French Tech est davantage une dynamique de cohésion de l’écosystème global. De plus, la labellisation French Tech donne accès à des programmes nationaux et à une ouverture vers l’international ».
Le dispositif national piloté par la « Mission nationale French Tech » comprend aujourd’hui 13 capitales French Tech (dont Bordeaux et Toulouse), 53 communautés en France (dont les secteurs Pau-Béarn, Pyrénées-Adour et donc Pays basque) et 56 communautés dans une centaine de villes du monde entier.
On ne manquera évidemment pas de vous reparler dans les prochains mois de celles d’ici !
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