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Vivadour dans le bio avec 1.000 producteurs

Le groupe coopératif investi avec AgriBio Union à Barcelonne-du-Gers pour devenir un acteur majeur dans ce domaine porteur
VIVADOUR VISUEL

Plus vraiment la peine de vous présenter Vivadour, n'est-ce pas ? Avec ses 500 millions d'euros de chiffre d'affaires, ses 5.000 agriculteurs réunis en coopérative, ses 850 salariés...

Mais si le groupe a lancé depuis maintenant plus de dix ans, sa filière bio avec AgriBio, il regroupe désormais tous ses agriculteurs bio dans AgriBio Union et se dote d’un outil puissant à Barcelonne-du-Gers.

Et…

Vivadour LOGOVivadour n'a pas lésiné sur les moyens, mettant 5 millions d'euros pour développer son site gersois. Le résultat pour le consommateur ? Un groupe spécialisé qui sait répondre à une demande de plus en plus exigeante en ce domaine. Leur slogan ? "L'agriculture biologique... Ensemble naturellement".

Parce que la bébête noire de l'agriculteur bio, c'est l'isolement, et que la force vient de l'ensemble. Là, ils sont plus de 1.000 producteurs produisant plus de 36.000 tonnes, soit environ 15% de la collecte des organismes stockeurs français.

VIVADOUREntre Salvagnac (81) et Barcelonne-du-Gers (32), c'est un réseau de techniciens de conseil, de services de proximité qui se mettent en place, tout comme une certification ISO 9001 du système de gestion de qualité, autant de travaux de structuration pour coller encore au plus près des besoins des consommateurs.

Pour Frédéric Castex, membre du Bureau de Vivadour et premier président du Groupe Spécialisé Bio de Vivadour, « la structuration en groupe spécialisé est une nécessité. Nous souhaitons faire de la culture bio, une culture contractuelle dont il faut préciser à la fois, les cahiers des charges techniques et le modèle économique. Nous devons produire ce qui est demandé par les consommateurs et qui entre dans les grandes filières agroalimentaires. Vivadour a l’expérience de ce type de structuration et des modes d’organisation nécessaires dans les filières agroalimentaires ».

ObioThierry Gestain, directeur territorial, ajoute : « l’expression de la demande des clients agroalimentaires est  de plus en plus pointue. Le bio, mais aussi le sans gluten, le sans OGM… nécessitent l’investissement dans des outils industriels nouveaux. C’est tout un mode d’organisation qu’il faut repenser. Avec l’accord du Conseil d’administration de Vivadour, nous allons déposer un dossier investissements innovants destiné à construire ces nouvelles filières végétales, agroalimentaires ».

Du tout beau, pardon du tout bio !

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