L’Atabal à Biarritz

Les vinyles tiennent salon : petits trésors en vue ce dimanche

Il pleut. Il fait frais. Il y a Michel Drucker à la télé. Autant de raisons de sortir de chez soi ce dimanche.

Toujours soucieux du bonheur de ses lecteurs, PresseLib’ vous propose de vous rendre à l’Atabal qui pour une fois n’ouvre pas ses portes pour un concert, mais pour son 6e Salon du disque.

Fan des années vinyles, régalez-vous !

Ce qu’il faut savoir…

Tout le monde est d’accord sur ce point : le CD est un objet froid. Pratique, mais froid. Il reproduit un son parfait. Parfait, mais impersonnel. Tandis que nos bons vieux vinyles, qui craquouillent sous le diamant du phono, c’est quand même autre chose !

Faites l’essai avec l’un de vos morceaux favoris, style « Sergent Pepper Lonely Heart Club Band » ou « Hotel California » et vos oreilles tant ravissantes qu’averties noteront rapidement la différence.

Et à l’Atabal, on retrouvera tous les disques qui ont fait la joie de nos parents, grands-parents et autres grands grands parents : du français avec Sheila, Hervé Vilard, Pascal Danel, et surtout les exceptionnels groupes des sixties : Chaussettes noires, Chats sauvages (à ce propos, bon rétablissement à Dick Rivers), Champions, Pirates, etc. Du british, avec les Small Faces, Animals, Them, ou Led Zeppelin ; du yankee avec The Doors, Jimi Hendrix Experience, Jefferson Airplane, Velvet Underground. Sans oublier leurs Majestés Beatles et Rolling Sones. Ou Berthe Silva.

Les prix de ces petits trésors ? Ils varient en fonction de la rareté du disque et de son format, 33 ou 45 tours. Ainsi celui du groupe Police « Message In A Bottle » est-il vendu 1 euro, tandis que le « Twist du canotier » des Chaussettes et Maurice Chevalier dépasse les 60.

Une simple promenade à l’Atabal, et vous retrouverez le goût sucré de votre enfance, et des sonorités que vous aviez oubliées. Et pour que le plaisir soit complet, le groupe Alter Ego animera les travées sur le thème de « Five décade of Rock Music ».