A partir de 2026, cette nouvelle compétition mettra en lice les 24 premières équipes du classement mondial, réparties en deux divisions, avec deux montées et deux descentes à compter de 2030.
La première division comprendra 6 équipes européennes (France, Angleterre, Irlande, Pays de Galles, Ecosse, Italie), 4 de l’Hémisphère Sud (Nouvelle-Zélande, Australie, Afrique du Sud, Argentine) et deux invitées (Fidji et Japon).
La deuxième division sera composée des nations suivantes : Portugal, Géorgie, Samoa, Tonga, Uruguay, Etats-Unis, Espagne, Roumanie, Namibie, Chili, Canada, Hong Kong.
Les clubs français vont ainsi être privés de leurs internationaux sur de nouvelles dates, avec des doublons supplémentaires par rapport au Top 14.
L’objectif est, avant tout, économique à un moment où le rugby a du mal à boucler ses budgets dans de nombreux pays.
World Rugby a également décidé que la prochaine Coupe du monde de rugby (en Australie, du 1er octobre au 13 novembre 2027) sera disputée avec 24 nations au lieu de 20 cette année. Les deux premiers des six poules et les quatre meilleurs troisièmes disputeront des huitièmes de finale.
En attendant, les équipes de l’élite française vont retrouver le terrain, après une très longue pause. Quelques internationaux vont ainsi retrouver la compétition après le faux-pas du Mondial : une manière d’évacuer la déception.
Rendez-vous dimanche, le lendemain de la finale du Mondial entre les All-Blacks et les Springboks, avec notamment : Bayonne-Stade Français et Perpignan-Pau.
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