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Parvis de Tarbes

Sous le charme de la voix de Jay-Jay Johanson
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"I believe in you, you believe in me", difficile de se sortir la petite voix lancinante de Jay-Jay Johanson de la tête, une fois qu'elle y est entrée. On préfère prévenir à l'avance ceux qui iront l'écouter dans un concert exceptionnel ce jeudi 22 janvier au Parvis de Tarbes, à 20h30. Ce qu’il faut savoir…

"I believe in you, you believe in me", difficile de se sortir la petite voix lancinante de Jay-Jay Johanson de la tête, une fois qu'elle y est entrée.

On préfère prévenir à l'avance ceux qui iront l'écouter dans un concert exceptionnel ce jeudi 22 janvier au Parvis de Tarbes, à 20h30.

Ce qu’il faut savoir…

jayjay1Avant d'aller vous laisser envoûter par sa voix et ses rythmes, petit tour de présentation du jeune homme (enfin, presque, puisqu'il est "quand même" né en 1969).

Son vrai nom, c'est Jäje Hohansson, mais comme tous les noms suédois, c'était imprononçable, alors il a troqué pour un Jay-Jay beaucoup plus "américain".

jayjayIl est tombé dans la marmite musicale alors qu'il n'avait encore que sept ans, et commença alors le conservatoire où il apprit le piano, le saxophone et la clarinette. Durant sa jeunesse, on sait qu'il accompagna ses études de design avec un emploi de... disc-jockey, on l'aurait parié.

Dès 1996, et comme quoi le talent n'attend point la force des années, il publie son premier album "Whiskey", où se côtoie la mélancolie d'inspirations du type "Portishead" mais aussi du jazz, de la bossa-nova tandis que la façon de chanter n'est pas sans rappeler celle de crooners des années cinquante.

jayjay2C'est en France qu'on l'a remarqué d'abord (nananère) avant que la Grande-Bretagne et le reste du continent ne tombe sous son charme. Le succès pouvait débouler, et n'allait pas s'en priver : "Tatoo" en 1998, "Poison" en 2000, "Antenna" en 2002 (l'album le plus dansant, certainement), "Rush" en 2005, et en 2007, le retour à ses origines avec "The Long Term Physical Effects Are Not Yet Known".

On continue avec "Self-Portrait" en 2009, "Spellbound" en 2011 et "Cockroach" en 2013. Le garçon semble ne rencontrer aucun problème d'inspiration, et ne chôme pas.

Allez, normalement avec tout ça, vous devriez pouvoir briller pendant la file d'attente, jeudi soir, avant le concert de Jay-Jay Johanson. Où on en était, nous ? Ah oui : "I believe in you, you believe in me"...

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