Ça sent bon le week-endBien posé chez Germaine

PresseLib’ vous propose régulièrement une sélection de bons plans mis en valeur sur le blog « Le Voyage aux Pyrénées ». On découvre…

Chez Germaine à Geüs d’Oloron fait partie de ces tables en Béarn qui sont des valeurs refuge. Week-end exquis dans cette maison chaleureuse.

La devise du Voyage aux Pyrénées est la suivante. « On trouve parfois tout près ce qu’on cherche très loin ». Autour de chez nous en Béarn, en Bigorre ou dans le Pays basque intérieur on parvient toujours à dénicher des hôtels-restaurants de famille hyper bien tenus où l’on se plaît à passer des week-ends de pachas pour pas très chers.

Le week-end passé au restaurant hôtel Chez Germaine à Geüs d’Oloron l’a prouvé une fois de plus. Arrivés par un beau et chaud samedi, nous nous installons sans nous faire prier autour de la piscine. Nous sommes comme des pachas dans cette maison chaleureuse.

What else comme dirait l’autre ! Le soir venu, ça boulotte gentiment à l’apéro avant de faire connaissance avec la cuisine de Chez Germaine.

À cette adresse une famille œuvre dans ses ramifications depuis quatre générations. L’auberge a ouvert en 1925. La petite dernière, Valérie Roger, a enjambé plusieurs fuseaux horaires pour faire entrer le métier avant de rejoindre ses parents Pierre et Gisèle en 2016.

Dans l’assiette c’est ajusté au cordeau à partir de produits locaux et de saison. Les légumes poussent en bio dans les Jardins d’Aurélie à Esquiule ainsi qu’à la ferme Ferme Loustau. Les pleurotes arrivent de Monein, cueillies chez Camparou.

Le cochon vient de la ferme Puyade à Aren tout prêt de là, le bœuf de chez Lespoune à Asasp Arros, le canard de la Ferme de Saint Grat à Oloron.

La célèbre charcuterie Casamayou de Navarrenx est aussi mise à contribution.

Chez Germaine est réputé pour ses plats signature, catégorie tradi, ris de veau et ris d’agneau entre autres, néanmoins Valérie Roger instille une touche exotique rapportée de ses séjours à l’étranger.

Pour faire court, un hôtel-restaurant qui n’enferme pas le temps. Ça vit, ça bouge, l’expérience est fructueuse.