Territoires de cirque

La Région Midi-Pyrénées est une « terre de cirque », bien que celui-ci n’ait, par nature, pas de frontières.

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Mais derrière le chapiteau, les clowns et les jolies trapézistes, quelles sont ses conditions réelles de vie et d’action ?

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C’est à ces questions, et à d’autres, qu’une étude vient de répondre.

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En voici les premières conclusions...

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Tout d’abord, rendons à César (et non à Auguste, le clown blanc) ce qui lui appartient. À l’origine de cette étude, on trouve Territoires de Cirque, une association rassemblant une trentaine de structures de production et de diffusion du cirque, un secteur autant passionnant que créatif, mais économiquement fragile.

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C’est dans le cadre du festival CIRCa, qui célèbre cette semaine à Auch sa 27e édition qu’ont été présentées ses résultats : 131 compagnies sont en activité dans la région ; la filière est composée de trois structures complémentaires, travaillant ensemble : le Lido, à Toulouse, école professionnelle identifiée comme un pôle majeur de la formation du cirque ; la Grainerie, située à Balma, qui permet de répondre aux besoins des compagnies et le CIRCa, pôle national des arts du cirque d’Auch.

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Lire notre article sur le festival CIRCa.

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L’ancrage est donc solide, les collectivités publiques accompagnent solidement les initiatives, comme les écoles de cirque, les pôles de création ou l’enseignement.

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Une préconisation : imaginer ici une nouvelle organisation d’un schéma régional des arts du cirque, tel qu’il a déjà été réalisé en Lorraine ou à Lille.

Ce qui entend une nouvelle structuration, exprimée dans l’étude, en 11 points, afin d’assurer une meilleure visibilité. Midi-Pyrénées, terre de cirque ? Aussi, oui !