C’est à la cave de Condom que Pierre Verduzan, président du festival, et son équipe de bénévoles ont présenté le programme de cette édition 2019.
L’ouverture et remise des clés de la ville se fera sous le cloître, à 18h30, avec apéritif en musique avec la « Band’A’Part ». Place aux festivités tout au long de la nuit, avec animation Sud Bandas, concerts à partir de 20 heures, et « Les hurlements d’Léo » à 22h30 sur la place Saint-Pierre. La Bodega Festayre recevra le groupe folk « Wazoo », animation scène et DJ jusqu’à l’heure du petit déjeuner, qui sera offert jusqu’à 6h30. Il sera sûrement le bienvenu.
Course landaise à l’Ancien Théâtre de Verdure le samedi à 16 heures, avec la Ganaderia Dal et la cuadrilla C. Dussau. La place Saint-Pierre accueillera elle « Les Armagnacs » en compagnie du chanteur Omar Hasan à partir de 14 heures, avec passe-rue et bandas en concours.
Impossible de rater le Grand Paquito à 18 heures, avant de courir souffler les dix bougies des « Pourquoi Pas ». Il vous reste encore un peu de forces ? Alors Francky Vincent, « le Roi du Zouk » en tournée dans toute la France et justement à Condom ce jour-là, va vous faire danser. Et avec lui, on sait que c’est bon !
Le dimanche, retour aux « choses sérieuses » avec les épreuves musicales des bandas en concours (création, musical, tradition), des rencontre juniors, avant la remise des prix à 17 heures.
Les P’tits festayres auront aussi leur festival avec animations gratuites, ateliers, grand Paquito, mini-boum et goûter pour bien terminer la journée.
L’association « Festival Européen de Bandas y Peñas » a signé la charte label fête en 2018, affirmant son engagement en matière de sécurité. Une première dans le département, officialisée par Catherine Séguin, préfète du Gers, Gérard Dubrac, maire de Condom, et Pierre Verduzan, président du Festival.
Retrouvez pendant le festival les 30 animateurs aux couleurs du Label Fête pour tous renseignements et distribution d'éthylotests et de protections auditives.
Photos : Marc Le Saux
Article réalisé avec le Journal du Gers et Marielle Fourcade
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