Seules deux CCI avaient deux listes en concurrence. En Béarn, c’est la liste de Didier Laporte qui l’emporte sur celle menée par Jacques Charrier, empochant la totalité des sièges. Le chef d’entreprise de la plaine de Nay (société Caralliance), trésorier sortant de la CCI, prend ainsi le relais de Patrick de Stampa.
[caption id="attachment_8860" align="alignleft" width="144"] André Garreta[/caption]
Au Pays Basque, c’est la liste du président sortant, André Garreta, qui est arrivée largement en tête, devant celle conduite par Philippe Neys. L’équipe de l'ancien président de la CGPME emporte la totalité des sièges.
[caption id="attachment_37173" align="alignright" width="191"] Philippe Jacquemain[/caption]
Pour les autres CCI, pas de suspens : une seule liste se présentait. Dans les Landes, Philippe Jacquemain fera donc un nouveau mandat avec une équipe assez largement renouvelée.
Dans les Hautes-Pyrénées, même scénario pour François-Xavier Brunet.
[caption id="attachment_5193" align="alignleft" width="154"] Michel Doligé[/caption]
Du côté du Gers, le président sortant, Michel Doligé, ne se représentait pas. C’est Rémi Branet, le patron du magasin Weldom de Seissan, qui présidera l’institution avec une nouvelle équipe.
L’autre enjeu était le taux de participation à cette élection. On en saura plus dans la journée, mais il semble plutôt en hausse : de 18% à 20% suivant les territoires.
L'importance de cette mandature est évident. Les CCI territoriales doivent poursuivre leur repositionnement afin de prendre en compte la concentration de pouvoirs au niveau des grandes régions (Nouvelle-Aquitaine et Occitanie), tout en gardant leurs essentielles missions de proximité. Mais aussi pour faire face aux grosses ponctions dans leur budget déclenchées par le Gouvernement.
Plus d’informations à venir
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