Ce radar nouvelle génération est installé entre la Cité multimédia et l’entrée de l’autoroute (sens Est-Ouest).
L’appareil mesure, en fait, la vitesse moyenne des véhicules sur environ 1.800 mètres qui doit donc être inférieure à 70 km/h sous peine d’être sanctionné.
Pour Pierre-André Duran, préfet des Pyrénées-Atlantiques, le choix de cette partie de la rocade a été fait en raison des vitesses excessives de certains automobilistes, mais aussi parce que 15 accidents s’y sont produits depuis 2005 avec 1 mort et 25 blessés.
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Des appareils sont placés en hauteur à chaque extrémité du tronçon contrôlé.
Une caméra et un lecteur de plaque d’immatriculation à infrarouge (système SCALP qui peut lire les caractères) enregistrent des images de chaque véhicule ainsi que l’heure de passage.
La vitesse moyenne entre les deux points est établie par un calculateur, avec une tolérance de 5 km/h.
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Si le conducteur a respecté les limitations de vitesse et que son temps de trajet n’est pas inférieur au temps minimal nécessaire pour parcourir la distance contrôlée à vitesse régulière, pas de problème.
Sinon c’est l’amende envoyée directement au domicile de l’automobiliste. La notification de l’infraction est déclenchée par le deuxième radar via GPRS à un serveur central qui se charge d’envoyer les procès-verbaux aux contrevenants.
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