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Trois nouveaux élus aux « Tables du Gers »

Le Pardaillan à Gondrin, l’Auberge de Larressingle et l’Atelier de Cuisine en Gascogne à Auch rejoignent les établissements labellisés
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Au moment de choisir un restaurant, nombreux sont ceux qui font confiance à un sigle. Le Routard pour les plus jeunes, ou les plus audacieux, le Gault-Millau pour les plus bobos, le Michelin pour les plus traditionnels.

Mais il existe d’autres possibilités, comme celle de faire confiance à une asso locale, qui connaît mieux que quiconque les qualités de ses membres. Telles les Tables du Gers, qui viennent d’introniser trois nouveaux membres, Le Pardaillan à Gondrin, l’Auberge de Larressingle et l’Atelier de Cuisine en Gascogne à Auch.

Le Pardaillan tout d’abord, la première bonne adresse, située avenue Jean Moulin, avec son menu du jour comprenant un choix parmi deux entrées, deux plats et trois desserts. Pour… 13 euros. Quoiqu’existe une formule « Côte à l’os » d’environ 1 kg, pour 45 euros et pour deux personnes, à moins que vous ne soyez doté d’un très très solide appétit. Quant au menu gascon, pour 23 euros il comprend un mi- cuit de foie gras de canard maison, un steak de magret de canard gras grillé, et une croustade artisanale. Excusez du peu.

Filons maintenant vers Auch et arrêtons-nous à l’Auberge de Larressingle, une ancienne ferme gasconne située dans l’un des plus beaux villages de France. Inutile de détailler sa carte, tous les « traditionnels » de la région y figurent, tant dans le menu tradition qu’à celui de l’Auberge. Une nouvelle carte vient d’être présentée qui, à la simple lecture, donne envie de monter sur son vélo pour y faire une halte. Et peut être un petit somme après, histoire d’apprécier la béatitude du moment.

La troisième adresse consacrée nous fait rester à Auch, au troisième étage d’un immeuble moderne, au 55 rue de Lorraine. Il s’agit de l’Atelier de Cuisine en Gascogne, mené par Pascale Salam Jaubert qui « cuisine, en cuisine, autour de la cuisine. » Chez elle, on apprend pour le plaisir, on teste des produits, on tâte de la technique et on réalise, grâce à ses conseils, des mets qu’on s’estimait incapable de faire. Pas vraiment un restaurant donc, mais un lieu voué à la cuisine. Et de ce côté-là, Pascale en connaît un rayon, pour avoir monté le D’Artagnan new-yorkais, avec Hélène Daguin.

Résumons : trois tables gersoises à découvrir. Le plaisir, ce n’est pas plus compliqué que ça.

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