Un moment qui se veut un voyage initiatique dans cette région bénie des dieux, qui vaut bien mieux que les images toutes faites des touristes envahissant Torremolinos ou l’Alhambra de Grenade. Car l’âme andalouse réside dans ses chants, comme va le constater encore une fois le public tarbais.
Mais avant de présenter les artistes, constituant l’essentiel du plateau proposé, qu’on nous permette de jeter un œil sur les manifestations parallèles : ainsi l’expo photo et vidéo « Año Santo » de Juan Ramon Llavori (jusqu’au 20 novembre), le prix photographique Ville de Huesca (avec vernissage le 23 aux sons de Banjo Barjo), des chants de la tuna de l’Ecole de médecine de Salamanque le 18, un stage de « palmas » le samedi 20 sous la conduite de Chano de Sevilla.
Et les spectacles ? voilà, voilà, voilà. Le 20, c’est Eduardo Rebollar et son groupe qui occuperont la scène du Pari, avec au chant Emilio Cabello et à la danse Yolanda Lorenzo. Le 27 à Borderes-sur-l’Echez aura lieu un bal sévillan, avec ambiance garantie, et le 30, au Parvis à Ibos, Israel Galvan se produira sur « La fin de cet état de choses ».
La place manque ici pour raconter le foisonnement de propositions, entre spectacles, concerts, théâtre, expositions, conférences, projection de films, stages de palmas, de castagnettes et de flamenco. Le tout sur le thème de l’Espagne et de l’Andalousie.
Ambiance, joie, classe et qualité sont garanties sur facture. Tout cela se déroulera jusqu’au 1er décembre prochain. Et comme on dit à Tarbes, Viva España, ou plutôt Viva Andalucía !
Informations sur le site du festival
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