Non, ce n’est pas un poisson d’avril, même si ça en a un peu l’aspect. Le dogorien existe, dû au talent de monsieur Perruchon. Car du talent il en a, entendu par exemple dans « Les Bronzés 3 », « La guerre des Miss », « Vision Pékin », ou au théâtre avec « Grosse chaleur », avant d’être accueilli par Ariane Mnouchkine et son Théâtre du Soleil.
Une sorte de langage adapté à la circonstance scénique, difficile à cerner par écrit, le mieux, c’est bien sûr de l’entendre.
Donc, voici 200 voix d’élèves, de 10 à 17 ans, d’assos musicales des chœurs du 65, accompagnés des élèves choristes des collèges de d’Arreau, Lannemezan, Tarbes (Victor Hugo et Marie Curie), Lourdes (la Serre de Sarsan).
L’intention : chanter pour la paix, ce qui est louable, encore qu’un peu passif en ces temps troublés. Et retracer l’histoire du nomadisme dogorien. Vaste projet ! Le tout sous la baguette de Cédric Cieutat.
Ce samedi 7 avril, c’est le troisième et dernier concert au centre Jean Jaurès d’Aureilhan, à 20h30. L’entrée est libre et gratuite. Il n’y aura pas d’interro écrite sur votre maîtrise du dogorien à la sortie…
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