Maïsadour multiplie les actions pour réduire son impact carbone

« Le bilan carbone n'est pas quelque chose de nouveau chez Maïsadour », commence le Groupe sur son site internet. En effet, le premier remonte à 2010. Il avait alors permis de poser des bases pour développer des initiatives dans le but de réduire l'impact carbone de l'entreprise. « Depuis plus de 10 ans, c'est un sujet primordial dans la stratégie du Groupe ».

Le dernier bilan carbone de Maïsadour en date remonte donc à la fin d'année dernière. Il permettra de mettre en place un plan d'action précis qui sera présenté dans les mois à venir. Mais en attendant, le Groupe ne reste pas passif, bien au contraire, puisque de nombreux leviers sont déjà actionnés pour réduire l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre émis par ses activités.

Pour un Groupe agricole, les actions autour des végétaux semblent les plus évidentes. Et elles sont multiples chez Maïsadour : développement d'une filière de soja local grâce à la récente création d'une usine à Saint-Sever, multiplication des couverts végétaux en hiver pour stocker le carbone et valoriser la biodiversité des sols, développement de l'agroforesterie en élevage pour permettre d'apporter des zones ombragées aux animaux et de compléter leur alimentation par des fruits, etc.

Mais ce volet n'est pas le seul. En effet, Maïsadour cherche également à réduire drastiquement son utilisation d'énergies fossiles sur ses sites industriels. Cela passe notamment par de la récupération de chaleur, par le développement de centrales photovoltaïques, et par l'introduction d'énergies renouvelables dans le fonctionnement du Groupe.

Rapidement, on peut aussi évoquer les actions menées pour optimiser les trajets nécessaires aux activités de Maïsadour (et donc réduire les émissions de gaz à effet de serre), et la politique assez large de réduction des emballages sur les sites agroalimentaires du Groupe.

De nombreuses actions qui justifient grandement de l'obtention du label RSE niveau « confirmé ». Et c'est pas fini...