Il y a le Grémil Prostré, une plante buissonnante, ou l'Aster Tripoliume dit aster maritime, le Séneçon de Bayonne mais aussi côté animal, le Vison d'Europe, et la tortue Cistude.
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Et toutes ces espèces sont menacées chaque fois que l'on creuse, que l'on aménage, que l'on entreprend des travaux colossaux, soit en créant un magasin Ikéa (sic) soit en élargissant l'autoroute qui va de Ondres à Biriatou.
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Ce qu’il faut savoir…
Dans cet univers de déséquilibres plus que d'harmonies, le développement économique se fait parfois au détriment de la préservation des espèces. Or, chez Vinci, on ne prend pas du tout le sujet à la légère.
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Et on a carrément acheté 160 hectares, répartis à Saint-Pierre-d'Irube, Briscous, Urt et Saint-Laurent-de-Gosse où, dans le délai des quatre prochaines années, on veillera à créer un territoire de compensation pour recréer le biotope nécessaire aux espèces citées plus avant.
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Chez Vinci, habitués à ce type de contraintes, on a acquis un véritable savoir-faire, et du coup, ils ont même pu aider et conseiller les constructeurs d'Ikéa, zone Ametzondo, pour faire de même.
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Tandis qu'un comité de suivi assure le bon fonctionnement de ces territoires de compensation et étudie l'adaptation des espèces à leur tout nouveau milieu naturel. Alors que les amoureux de la nature et de ses habitants à feuilles ou à pattes se rassurent : ils pourront faire leur shopping chez Ikéa, ou emprunter l'Autoroute jusqu'en Espagne sans s'inquiéter de la survie et de la préservation des espèces naturelles.
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Un bon point pour Vinci.
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