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    Près d’ici, Mercator prend soin de l’océan

    A Ramonville-St-Agne, près de Toulouse, des scientifiques et des experts sont mobilisés pour veiller, décrire, analyser et prévoir l’océan…
    MERCATOR OCEAN 4
    Ainsi, donc, il y a la mer à Toulouse, ou plus exactement à Ramonville, tu parles d’une nouvelle ! Ok, on exagère. Mais à peine…

    Car s’il n’y a pas vraiment l’océan, il y a au moins Mercator, la start-up qui, à l’échelle globale ou régionale, en surface comme en profondeur, décrit, analyse et prévoit l’océan.

    Financée par les grands acteurs nationaux de l’océanographie opérationnelle, dont le CNRS, Ifremer, IRD, Météo-France et Shom, elle emploie une soixantaine de scientifiques et d’experts dirigés par Pierre Bahurel. Car à Toulouse, il y a certes l’excellence spatiale, mais aussi celle de l’océanographie opérationnelle.

    Coordinateur des projets européens MyOcean depuis 2009, et bientôt délégataire du service européen de surveillance des océans, Mercator Océan est aujourd’hui chef de file de cette filière d’excellence.

    Cette année, Mercator Océan soutient l’initiative Sea Plastics, créée en 2016 par trois étudiants d’AgroParisTech, pour opérer des expéditions océanographiques à la voile pour étudier l’impact des plastiques sur le milieu marin. Mercator leur fournit des expertises et produits océanographiques pour leur expédition de cette année, d’avril à fin juillet.

    Au niveau national, Mercator collabore aussi aux projets Coriolis, Drakkar Ocean, Cersat, ou Ssalto/Duacs. Un océan d’actions pour que demain, ce soit la mer à boire… sans s’empoisonner.

     

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