« Tout est parti d'une chanson que j'ai écrite pendant le premier confinement, lorsque j'ai appris qu'un de mes amis faisait un burn-out. Je l'ai présenté à Vivien pour en composer la mélodie et nous avons convaincu Mathieu de la chanter. Nicolas et Mickaël ont ensuite rejoint l'aventure et le nom du groupe s'est imposé de lui-même », raconte Yannick Allongue, musicien aux multiples talents depuis ses cinq ans.
La musique est un exutoire
Ses deux années de travail sont matérialisées par un premier album 100 % « fait maison », intitulé « La loi du chiffre » et sorti le 7 mai 2022 (disponible au E. Leclerc d'Oloron, au Silver Wolf Music de Lons et sur toutes les plateformes numériques). La recette miracle du groupe oloronais ? Un aspect humain primordial pour s'amuser en faisant un travail sérieux.
À la manière de Noir Désir ou de Trust, Burn out laisse une place importante à ses textes (uniquement en français). Ses neuf premières chansons abordent différents sujets sociétaux, « tout ce qui nous énerve et nous dérange, il y a aussi quelques ballades plus légères. Pour nous, la musique est un exutoire, une échappatoire aux difficultés du quotidien. On ne passe pas une semaine sans jouer », souligne le bassiste, également journaliste au Sillon.
En infatigables passionnés, les membres de Burn Out planchent déjà sur un deuxième album, dont la sortie est prévue pour le début de l'année prochaine. Yannick Allongue et sa bande espèrent ainsi programmer une série de concerts pour présenter ces deux albums au public. Une petite allure mix entre Trust et BB Brunes, du bon rock français comme on aime, à découvrir !
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