La Fédération internationale de l’automobile (FIA) et EDF ont signé un partenariat pour le développement des voitures électriques dans le sport automobile. Cette année ouvre la porte de grandes révolutions technologiques avec l’arrivée de moteurs hybrides puissants en F1 et en WEC, et avec la naissance du championnat de Formule E.
Dans ce contexte de développement de nouvelles technologies, EDF apporte un haut niveau d’expertise technique.
Concrètement, EDF réalisera des tests de batteries en laboratoire (comme il le fait déjà avec certains constructeurs), participera à l’élaboration de normes de sécurité et d’homologation des voitures et sera présent régulièrement sur les circuits au côté de la FIA. L’objectif est d’accompagner l’amélioration des performances des véhicules dans un contexte de sollicitation très intense des batteries durant les courses.
Pour EDF, « évaluer ces questions est un enjeu absolument majeur et une expérience utile pour sa transposition sur les véhicules de monsieur tout-le-monde ».
Le groupe français estime que le sport automobile peut être « un moyen d’acceptation et de développement de la mobilité électrique ».
Le championnat du monde de Formule E se déroulera dans de grandes métropoles, à commencer par Pékin en septembre prochain.
Dix courses sont programmées pour la première saison, avec 10 équipes formées de 2 pilotes chacune. Toutes utiliseront le même modèle : la Spark-Renault SRT-01E, équipée de batteries de 200 kg et capable d’atteindre une vitesse de 225 km/heure.
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