Adour Compétitivité devenu Initiative des dirigeants d’entreprises du sud-ouest (Ideso) présente aujourd’hui à l’occasion de son assemblée générale son outil CIME pour la valorisation de l’immatériel en entreprise.
L’immatériel comme son nom l’indique recoupe toute cette richesse qui ne se matérialise pas physiquement et qui pourtant peut considérablement servir le développement de l’entreprise. Au sein d’Ideso, c’est Elias Agouri, ancien cadre d’Elf Aquitaine, qui a fait sa spécialité de ces questions.
Mais que désigne-t-on au juste par capital immatériel ? « Le capital immatériel, c’est toute la richesse de l’entreprise qu’on ne lit pas au bilan. Ce sujet est majeur, car dans l’économie d’aujourd’hui la valeur de l’entreprise est immatérielle au 2/3 environ. Le capital immatériel couvre notamment la valeur de la clientèle, du capital humain, des savoir-faire, des marques, du système d’information, etc.
Pour se développer une entreprise a besoin de tout cela » explique Alan Fustec, président du cabinet Goodwill Immatériel. L’outil prend aussi en compte la Responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE).
En effet, un bon capital humain n’a pas de valeur si les collaborateurs qui le détiennent ne sont pas mis en valeur ou tout du moins placés dans les conditions qui feront que ce capital pourra s’exprimer.
Aujourd’hui, Ideso invite Sophie Clusel, du groupe Afnor, et Louis-Rémy Pinault, de Générali France, pour couvrir ces questions autour du thème « Nouveaux enjeux, nouveaux risques : quel management et quels outils ? »
Assemblée générale aujourd'hui à 15h au CNPC à Lescar.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire