Les manifestations se son multipliées en France pour protester contre la forte augmentation de la TVA (de 7% à 20%) prévue au 1er janvier prochain. Les associations équestres estiment que l' « équitaxe » pourrait entraîner la fermeture de 2.000 des 7.000 centres équestres, la perte de 6.000 emplois et envoyer 80.000 chevaux à l'abattoir. L’inquiétude est grande dans la région riche d’une filière particulièrement importante.
Une filière qui est largement financée par les paris. Et heureusement, le PMU maintient sa dynamique de croissance, malgré un contexte de forte dégradation économique et de resserrement du budget des ménages.
Le PMU reverse l’intégralité de son résultat net (près de 900 millions d’euros) aux Sociétés de courses, permettant ainsi de financer l’entretien et la rénovation des hippodromes, la dotation des prix de courses, l’organisation des courses, les métiers de la filière (maréchaux-ferrants, vétérinaires, lads…) etc. Au total, ce sont 70.000 emplois qui sont directement financés par l’activité du PMU.
Le PMU a reversé à ses parieurs la somme record de 7,976 milliards d’euros en 2012, soit un taux retour de 76%. 151 parieurs ont gagné plus de 100.000 euros grâce au Quinté+ et 16 d’entre eux sont devenus millionnaires. Près d’un milliard d’euros ont été reversés à l’Etat par le biais des prélèvements sur les enjeux.
Dans un contexte économique marqué par la hausse du chômage et l’inquiétude sur le pouvoir d’achat, le PMU met tout en oeuvre pour assurer le maintien de l’activité hippique à un niveau historique, et poursuit ses efforts en direction des relais de croissance que sont le développement international et les nouvelles activités de diversification : paris sportifs et poker.
Le bassin de l’Adour est particulièrement en pointe avec un nombre record de passionnés et de connaisseurs, autour de la locomotive que constitue l’hippodrome de Pau
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