Doucement mais sûrement, les fêtes de fin d'année approchent. Et à quoi pense-t-on à ce moment ? Aux agapes qui n'en finiront pas, autour du sapin et des cadeaux (si la sagesse paye vraiment, ce sera l'occasion de le vérifier).
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Est venue l'heure d'oublier les régimes et autres diètes drastiques, et de penser saumon fumé, huîtres, mais surtout, surtout, foie gras, l'aliment incontournable qui va si bien avec la boisson à bulles, qui commence par Champ... et finit par ... Agne.
Et le foie gras, chez Labeyrie, c'est le produit phare, étoilé, celui de qualité.
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Ce qu’il faut savoir…
Pas pour rien qu'une nouvelle unité d'abattage vient d'ouvrir à Came, avec un investissement de quelque 7,3 millions d'euros. Là, trois millions de foie gras sur pattes, pardon de canards, vont être traités.
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Mais transparence oblige, Labeyrie dévoile tout de ses conditions de fabrication, et montre que la souffrance animale est aussi partie intégrante de ses préoccupations, quoi qu'en pensent les végétariens convaincus.
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Si la dextérité des salariés demeure impressionnante, on se focalise ici sur le stress de l'animal, les flux d'air à la sortie du camion, les nuisances sonores, ou lumineuses (on a bleuté les lumières pour les adoucir), et même les bains pour étourdir l'animal avant sa saignée.
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Alors bien entendu, on ne va pas se mentir et faire dans l'hypocrisie, mais l'entreprise agroalimentaire fait des efforts louables en la matière.
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Efforts pas tout à fait innocents, puisqu'on sait désormais que moins l'animal est stressé, plus son produit sera de qualité. Et Labeyrie, la qualité, ça les connaît !
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