C'est pour rendre hommage au très bon vivant roi Henri IV que Francis Miot a eu l’idée d'inventer, en 1998, ce bonbon qui se compose d'une amande grillée, enrobée de chocolat, le tout recouvert d'une pâte d'amandes aromatisée à la framboise, au gingembre et à l'armagnac.
Son visuel n'est pas anodin, et son nom non plus d'ailleurs, puisqu'ils font référence à la réputation du « Vert Galant », surnom du roi. En effet, les historiens lui attribuent pas moins de 57 maîtresses, qui auront donné naissance à une vingtaine d'enfants.
Mais bien que dans le langage courant, le terme « coucougnette » désigne une partie de l'attribut masculin, à l'origine, « faire une coucougne » signifiait « câliner, cajoler, chouchouter ». C'est donc aussi un sublime nom pour présenter une douceur qui viendra, à coup sûr, caresser votre palais.
C'est au 46-48 rue Joffre, à Pau, que vous pourrez trouver ces confiseries. Spécialité de la ville royale, et surtout, création du confiseur Francis Miot, dirigé par Jean Othax, les coucougnettes du Vert Galant ont été récompensées à plusieurs reprises. Élue meilleur Bonbon de France en 1999 et en 2000, cette confiserie vous proposera un « moment d'amour », unique et privilégié entre vous et vos papilles.
Un secret bien gardé…
Bien que l'on connaisse les ingrédients nécessaires à la fabrication des coucougnettes du Vert Galant, le procédé de fabrication reste quant à lui un mystère. On sait qu'il faut des amandes grillées, du chocolat noir 70% de cacao, et une pâte d'amandes aromatisée à la framboise, au gingembre et à l'Armagnac.
Sa fabrication, artisanale, roulée à la main, est sans doute ce qui lui donne cet aspect et ce goût, si unique. Mais tous le secret reste bien gardé par la Maison Francis-Miot. C'est pourquoi nous ne pouvons que vous inviter à aller dans sa boutique pour vous offrir un lot de coucougnettes, ou à défaut de pouvoir vous déplacer, les commander sur son site internet – cliquez ici.
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