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TWITTOLIB’L’actu en bref

Les thermes landais ouvriront le 22 juin - Incertitudes pour le Quiksilver et le Roxy Pro - 30% des discothèques menacées - Ruée vers les territoires ruraux - Le Guggenheim de Bilbao est prêt - Intentions d’embauche en berne - Pas de retour à la normale avant mi-2022…
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Chaque jour, PresseLib’ vous propose un tour d’horizon de l’info en quelques lignes.

Les thermes dacquois ouvriront à partir du 22 juin

Pour les cures, la relance se fera progressivement jusqu’au 13 juillet, en fonction des établissements. Du coup, pour essayer de compenser une partie des pertes, la saison sera prolongée jusqu’au 19 décembre. Dates d’ouverture : Sourceo et Régina, le lundi 22 juin ; les Chênes, le Grand hôtel et les thermes de l’Avenue, le 29 juin. Christus, Borda, les Écureuils, Bérot et Saint-Pierre, le lundi 6 juillet ; Sarrailh, Dax O’Thermes, Foch et Daxadour, le lundi 13 juillet.

Incertitudes pour le Quiksilver et le Roxy Pro

La manche française du championnat du monde de surf, programmée à Hossegor du 1er au 11 octobre, semble bien compromise, même si aucune décision n’a été prise pour le moment. La World Surf League doit annoncer son verdict d’ici fin juin ou début juillet. Tout dépendra de la position des sponsors (impactés par la pandémie) et des possibilités de déplacement des surfeurs depuis les Etats-Unis, le Brésil, etc. Jusqu’à présent, toutes les épreuves ont été annulées et le championnat 2020/2021 pourrait être réduit à sa plus simple expression.

30% des discothèques menacées

Selon le Syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), un tiers des 1.600 établissements pourraient fermer définitivement. Ce sont 5.000 emplois qui se retrouvent ainsi en danger avec l’incertitude concernant la réouverture. Avant la crise, les seules discothèques représentaient un chiffre d’affaires annuel de plus d’un milliard d’euros ; elles versaient également 30 millions d’euros par an à la Sacem pour les compositeurs et auteurs.

Ruée vers les territoires ruraux

Feu de paille ou tendance lourde ? De nombreux professionnels de l’immobilier constatent une hausse spectaculaire de la demande de biens. Certains s’arrachent avant même leur mise sur le marché, d’autres font l’objet de surenchères. Cela concerne des particuliers mais aussi des entreprises qui se lancent dans des projets novateurs, en lien avec la nature. Il n’y a pas que les Parisiens qui se lancent dans cette course au charme des territoires ruraux, les habitants des grandes métropoles régionales ne sont pas en reste.

Le Guggenheim de Bilbao est prêt

Avec 1,4 million de visiteurs chaque année, il est l’un des plus importants musées d’Europe. Inauguré le 18 octobre 1997, il a rapidement rencontré un succès mondial, devenant aussi un modèle de développement urbain. Cette architecture, signée par Franck Gehry, surplombe le fleuve Nervion et symbolise la révolution culturelle et sociale de la capitale de la Biscaye. Le Guggenheim s’étend sur 200 mètres de long, et offre une superficie de 24.000 mètres carrés. Informations sur le site internet, cliquez ici.

Intentions d’embauche en berne

Cette situation est révélée par le dernier baromètre ManpowerGroup réalisé dans 44 pays et territoires, du 15 avril au 18 avril, auprès de 34.000 employeurs issus d'entreprises privées et d'organismes publics, dont 1093 employeurs français. Les prévisions nettes d'emploi au troisième trimestre 2020 sont négatives à -11%, un record. 13% des employeurs font état d'intentions d'embauches, 21% pensent réduire leurs effectifs, 55% envisagent une stabilité et 11% ne savent pas comment va évoluer leur situation. L’hôtellerie-restauration est le secteur le plus touché par la crise (-54%), loin devant l'industrie manufacturière (-14%), les activités financières (11%) et la construction (10%).

Pas de retour à la normale avant mi-2022 ?

La Banque de France a livré ses estimations sur l’évolution du produit intérieur brut (PIB). Le deuxième trimestre de cette année devrait enregistrer une chute record de 15%, l'activité économique devrait rebondir de 7% en 2021, puis augmenter encore de 4% en 2022. Ainsi, le niveau d'activité de fin 2019 ne sera pas retrouvé avant 2 ans. Bien entendu, tout dépendra de la consommation. Si elle repart fortement à la hausse, la situation s’améliorera plus vite. Si les Français préfèrent épargner, en raison des incertitudes sur leur emploi, la sortie de crise sera beaucoup plus compliquée. Toujours selon la Banque de France, le taux de chômage devrait dépasser 10% fin 2020, et monter jusqu’à 11,5% à la mi-2021, un niveau « au-dessus des précédents historiques ».

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