Après avoir travaillé durant près de 30 ans dans le développement agricole et hydraulique en Afrique sub-saharienne, Jean-Rémi Martin achète la plantation historique de cacaoyers Diogo Vaz en 2014. Créée en 1880, celle-ci est implantée à São Tomé-et-Principe, une île du golfe de Guinée, à l’ouest de l’Afrique.
Après l’abolition de l’esclavage, cette ancienne colonie portugaise devient en 1910 le premier producteur mondial de cacao avec 35.000 tonnes par an, l’île est d’ailleurs surnommée l’Île Chocolat. Malheureusement, cette production est peu à peu abandonnée lorsque l’archipel acquiert son indépendance en 1975.
Voilà pour la petite histoire, mais revenons à nos chocolats ! Conscient du formidable potentiel de Diogo Vaz, Jean-Rémy Martin transforme l’exploitation, qui obtient le label "Agriculture biologique", tout en respectant son héritage et un savoir-faire ancestral des habitants.
C’est la passion de l’entrepreneur landais qui a permis à la forêt de cacaoyers Diogo Vaz de s’étendre aujourd’hui sur plus de 420 hectares, et d’être l’un des vergers les plus anciens de l’île.
Une production éthique et biologique
Sur l’île de São Tomé, toutes les conditions sont réunies pour fabriquer un chocolat d’exception, l'un des meilleurs cacaos au monde : le climat tropical tempéré, le sol volcanique, une végétation dense… Les fèves des variétés locales de cacaoyers (amelonado, trinitario et catongo) sont récoltées à la main et de manière raisonnée et aucun pesticide n’est utilisé.
Pour la plupart des plantations de cacaoyers, les fèves séchées sont ensuite expédiées vers une fabrique en Europe pour être transformées. Mais Jean-Rémy Martin a décidé de prendre le contrepied de cette tendance, en construisant une chocolaterie Diogo Vaz à une heure à peine de la plantation. Les fèves sont ainsi sublimées par le savoir-faire d’une équipe passionnée.
La marque a à cœur de le valoriser, en offrant à la population de meilleures conditions de vie et un travail rémunéré au juste prix. « En plus de créer de l’activité économique et de valoriser le savoir-faire des villageois, chaque année nous développons l’éducation des enfants, la formation professionnelle, l’accès à la santé et l’amélioration des conditions de vie. Nous nous mobilisons pour la protection environnementale de l’archipel de São Tomé ».
L’excellence de nos fèves a déjà conquis les plus grands Chefs du monde.
Dans ses boutiques de São Tomé et de Mont-de-Marsan (ouverte en mai 2020), la chocolaterie propose de nombreux produits gourmands : des tablettes de chocolat bien sûr, mais aussi du chocolat pâtissier, des plaques à casser, coffrets, rochers, des pâtes à tartiner et bien d’autres recettes originales imaginées par les maîtres chocolatiers de la marque…
Des chocolats qui ont conquis professionnels et particuliers
Du cacaoyer à la tablette, Diogo Vaz propose ainsi des chocolats millésimés uniques au monde et aux arômes singuliers. « L’excellence de nos fèves a déjà conquis les plus grands Chefs du monde. Nos efforts sont aujourd’hui récompensés par la fidélité de nombreux professionnels de la gastronomie française », souligne la marque.
La marque est ainsi présente sur les plus grands salons du chocolat du globe. En 2016, le chocolatier français et directeur technique de la marque Olivier Casenave a gagné le prix de la meilleure tablette du monde au Salon du chocolat de Paris, grâce au cacao Diogo Vaz.
En 2018, le chocolat Diogo Vaz a intégré le prestigieux Collège Culinaire de France (https://college-culinaire-de-france.fr/), qui référence les produits de restaurants et artisans pâtissiers les plus prestigieux de France.
Et cette année, Diogo Vaz a remporté le Gourmet d’Or au 2e Concours International des Chocolats élaborés à l’origine pour sa tablette Chocolat Noir 70%. La marque a également remporté la médaille d’argent pour sa tablette chocolat au lait 38% et deux médailles de bronze pour ses tablettes Chocolat 50% Lait Coco et Chocolat noir 70% Unroasted Amelonado.
Ami foie, accroche-toi ! On a l’intention de tout tester !
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