Commençons par la vedette du week-end : Brachetti et sa houppette en personne dans son nouveau spectacle, Solo, un seul en scène spectaculaire où l’imagination et l’absurde règnent en maîtres, au gré de la créativité de cet artiste hors pair, qui ouvre pour l’occasion les portes de sa maison faite de rêves et de souvenirs. Devant les yeux émerveillés des enfants (et des plus grands), il va devenir un autre d’un claquement de doigt, en une mue à la vitesse de l’éclair (vendredi 18 et samedi 19 à 20h30 au Quintaou, 35 euros).
Ainsi « en salle », va se succéder une ribambelle de spectacles : « Les Envahisseurs », par la compagnie Bakélite, mettant en scène des petits hommes verts, ainsi que « La caravane de l’horreur » permettant de partager un moment d’intimité avec un tueur en série.
Et aussi, « A l’ombre d’un nuage », de la compagnie En attendant, un instant de poésie tout en couleurs. Ou encore « Wax, comment sortir du moule », de Renaud Herbin, « J’y pense et puis… » de Tof Théâtre, qui présentera également « Dans l’atelier » durant lequel on bricole des marionnettes.
A voir, « Le Dernier jour », un conte illustré dû à Monsieur Lune, « Devoris Causa », des catalans d’Escarlata Circus.
Et pour finir, « Mythologies », du groupe Anamorphose et la chanteuse Ellie James sur un ciné-concert indie pop pour les enfants et leurs parents.
Impossible, pour les spectacles en plein-air, de tous les citer. Du burlesque, des playbacks absurdes, des trucs loufoques, du théâtre de rue, des jeux d’adresse en bois, du jonglage, des acrobaties et même… une rencontre philosophique insolite avec un arbre.
Au total, trois jours de fêtes à partager en famille, se déroulant entre Quintaou, Baroja, salle des fêtes de l’Hôtel de Ville, jardin d’Ansbach, la bibliothèque, les Cavaliers et à la Chambre d’Amour. Trois jours de spectacles grandioses ou intimistes : des jours heureux, en somme !
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