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Raphaël Enthoven au salon d’Orthez

Ce week-end, à la Moutète, on pourra constater que « la philosophie est un jeu d’enfant », avec pour nous en convaincre un invité de marque
LIVRE orthez2
Une incitation à la réflexion, c’est ce que nous propose la 22ème édition des Journées du livre d’Orthez, sur le thème de « La philosophie est un jeu d’enfant », qui pourrait fort bien figurer comme sujet au bac.

Il est vrai que prendre la philo pour un jeu serait une magnifique façon de désacraliser la discipline. Et qui de mieux pour le démontrer que le philosophe Raphaël Enthoven, qui rend les concepts si faciles à décrypter, en particulier au micro d’Europe 1 ?

Raphaël sera là toute la journée de ce samedi et mènera une conférence sur le thème imposé à 15h30. Ce qui ne devrait pas être trop ardu pour lui, qui a écrit « Un jeu d’enfant : la philosophie », donc il a dû bucher son sujet et n’aura pas besoin d’anti-sèches.

Parmi les auteurs invités, on ne manquera pas de saluer l’auteur de polars Éric Becquet, la conteuse Muriel Bloch (star de la Maison du conte de Chevilly-Larue), les illustrateurs Laure Gomez et Fabrice Mondejar, les auteurs jeunesse Nathalie Infante et Patrick Menettrier, le dessinateur Marc Lage, et les romancières Marion Le Hir de Fallois et Adeline-Josiane Yzac-Abadie.

L’inauguration aura lieu ce samedi à 11h ; à 15h seront remis les prix du concours d’écriture jeunesse, suivis d’un atelier chocolat, de la lecture d’un conte musical par Muriel Bloch, et de deux cafés littéraires, le premier à 17h30 avec les Noires de Pau, à 18h30 avec les auteurs et les exposants.

Le lendemain, ouverture dès 10h, une heure plus tard remise des prix Plume de Fébus, un café philosophique à 15h, un autre, littéraire, une heure plus tard avec Nario Gilabert. Et toute la journée, des rencontres d’auteurs sur leur stand, des animations musicales, un atelier généalogie et un espace lecture. 5.000 visiteurs sont attendus durant ces deux jours, auxquels il convient d’ajouter 1.700 jeunes venus en groupes scolaires, qui prendront là leur première leçon de philo.

Merci aux organisateurs d’avoir osé, et d’avoir pris des risques financiers, car mener à bien ce Salon n’a pas été pour eux « un jeu d’enfant ! »

Informations sur le site du salon

 

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