Les dadas produits ici sont sains, résistants et précoces, sur 26 boxes, une exigence d’excellence due à la famille Watrigant, depuis trois générations. Eh oui, c’est à Artassenx qu’est élevée l’élite mondiale des purs sangs arabes et anglais.
Ça dure depuis 1881 côté passion, mais c’est en 1965, il y a cinquante trois ans que Jean-Marc de Watrigant crée le haras, transformant la passion en métier, le secret du succès.
Aujourd’hui, ses fils Damien et Nicolas sont les héritiers de cette lignée de passionnés. Sur sable ou gazon, le site est géré grâce à une vingtaine d’employés. Pension des juments, poulinières, suivi gynécologique, préparation des yearlings aux ventes, pension de chevaux au repos ou des yearlings, vrai qu’on ne chôme pas ici, malgré la carte postale bucolique qui sert de décor.
Et qu’il s’agisse d’Ahzar, de Bengali d’Albret, de Benji, Kandar du Falgas, Vanissa du Loup, Sahabba (on adore les noms de chevaux !), ils sont plus de 40 chevaux nés ou élevés au Haras de Mandore qui témoignent de cette lignée d’excellence, ayant remporté des victoires de Groupe 1.
Et encore on n’évoque là que les purs sangs arabes, parce que côté anglais, il y a aussi Mambomiss, Ghazawaat, Baie d’Honneur, Balaythous, Lola Rose, Loonora, Mister Leonard ou Simply Striking (on vous l’a dit, déjà, qu’on adorait les noms de chevaux ?).
Évoquer le Haras de Mandore, sans aucune corrélation pourtant, nous rappelle cette phrase si drôle de Louis Sallentin dans l’Improvisateur français : « J’ai perdu dans ce jour fatal : mon coche, mon cheval, ma belle… J’ai grand regret à mon cheval. » Louis Sallentin, comme nous tous, aurait adoré le Haras de Mandore…
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