Autour de Brice Blondel, préfet du département, se sont regroupés les représentants économiques et sociaux impliqués dans ce nouveau dispositif, lancé au niveau national en juillet 2018 par l’État : l’UIMM, le MEDEF 65, la FBTP 65, FACE Pays de l’Adour, ainsi que l’Inspection académique.
L’objectif consiste à stimuler et accompagner sur le terrain les acteurs qui favoriseront de façon volontaire, innovante et concrète l’inclusion et l’insertion professionnelle des personnes les plus éloignées du marché de l’emploi.
Pour ce faire, la mobilisation des entreprises est bien entendu nécessaire. Elles sont une trentaine aujourd’hui dans le département à s’impliquer dans les deux programmes proposés par ce dispositif : le « PaQte » et le « Plan 10.000 entreprises », destinés à faciliter l’apprentissage et le recrutement de publics fragiles, quels que soient leur âge et leur parcours.
Il peut s’agir de personnes issues des quartiers prioritaires de la ville ou de la ruralité, de jeunes, de demandeurs d’emploi de longue durée, de personnes handicapées, de bénéficiaires du RSA, de personnes placées sous main de justice, de réfugiés…
En Bigorre, FACE Pays de l’Adour (Fondation Agir Contre l’Exclusion) a été désignée pour co-animer ces deux programmes, avec l’appui du MEDEF, l’UIMM et la FDBTP.
Les entreprises ayant signé cette charte appartiennent à des secteurs très variés, de l’aéronautique aux services, en passant par la métallurgie, etc. Des domaines qui peinent parfois à recruter du personnel qualifié et de jeunes apprentis.
Leur bienveillance permettra à tous ceux qu’elles recevront de se sentir plus confiants, grâce notamment à de meilleures perspectives professionnelles.
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