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Et après… Faut qu’ça bouge !

Odos propose un nouvel événement participatif, carrément festif et gratuit. Au programme, partage et artistes du cru
ODOS 2

Il va s’en passer, et de belles, à Odos, ces 1er et 2 juillet, puisqu’on y annonce un événement carrément festif, dénommé « Et après… Faut qu’ça bouge », avec concerts, expositions, ateliers d’initiation, performance de graffeur, conférence. Et des crêpes et de la bière, aussi. Allez, en voiture Simone, direction le Piémont pyrénéen !

De ce qui nous a été annoncé, la journée va démarrer toute en douceur, dans une ambiance des plus familiales. Et puis, dès 17h, tout va changer avec les concerts ; enfin, tout va bouger, puisque sont annoncés sur deux espaces, l’un se situant derrière le gymnase, l’autre étant la Salle polyvalente, des artistes et ensembles locaux, au timbre de rock alternatif. Boules Quiès de rigueur ? Non, pas si on aime !

Ils ont pour noms Diéval and the Propulsions (de la pop-rock british), le groupe tarbais Eloriane, Papa Gahus avec son rock chanté en gascon, et son rock progressif, Les 2 Minutes de la haine (groupe qui existe depuis 1984), Koun Koun (électro-progressif), les Toulousains du Tigre des Platanes et We don’t Care. Vous ne les connaissez pas tous ? Nous non plus, ce qui est une raison suffisante pour cheminer jusqu’à Odos. Pourquoi ? Parce que faut qu’ça bouge, té !

Sinon, un petit coup de chapeau en passant, aux promoteurs, en l’occurrence le collectif d’assos telles que Les Enfants du Galopio, les Robins des Bois, la MJC et les autres. Car ils ont réussi à faire venir, en plus des zicos, des artistes tels que Christian Aguirre, Michel Cazayous, Hélène Cieutat, Puerre Jalby, Julien Jomard, Jeaan-Jack Lorinet, Cécil Mira, Frédéric Pontico ou David Sanjaume. La preuve que musique – enfin, rock – et culture sont parfaitement compatibles. Dernière précision : toutes ces réjouissances sont totalement gratuites.

Alors, on se bouge ?

Informations sur la page Facebook du festival

 

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