Pour commencer, ce jeudi 15 mars on a pu apprécier« La quête de Jazzon », dû à la compagnie Bakhus, où quatre danseurs allient musique jazz et danse hip hop, en collaboration avec le quartet du Jazzman Seb Chaumont, dont icelui au saxo.
Ce vendredi 16, c'était Body and Blues, mené par Eric Séva, sur un programme imaginé autour du blues, avec en particulier l’excellent Manu Galvin à la guitare.
Samedi 17, à 16h, place à un sextet montpelliérain, The Sweet Peppers, qui fait revivre le jazz des années 1920 à 1940, avec les plus beaux standards de l’époque ainsi qu’une sélection de petits trésors oubliés. Du Sidney Bechet, du Louis Armstrong et du Duke Ellington, entre autres. Le tout porté par la voix délicieusement démodée d’Audrey Leclair et par celles pleines de personnalités de Benjamin et de Sami.
Suivra à 20h30 un petit prodige, né en 1999, Tom Ibarra, jeune guitariste et compositeur de jazz funk, déjà couvert de récompenses telles que Tremplins Jeunes Talents ou prix Sacem. Le très regretté Didier Lockwood, qui vient de nous quitter l’avait même invité à partager sa scène.
[caption id="attachment_76190" align="alignright" width="200"] Emile Parisien Quintet[/caption]
Enfin, pour le dimanche, on ne manquera pas à 16h Souad Massi, qu’on assure être la plus belle voix féminine d’Afrique du Nord et pour finir en beauté à 20h30 l’Emile Parisien Quintet, qui ne nous vient pas de la Capitale mais de Cahors, formé lors d’une « carte blanche » lors du Festival de Jazz in Marciac, récompensé du prix Django Reinhardt 2012 et d’une Victoire du Jazz 2014. On l’écoutera sans déplaisir interpréter des extraits de son album Sfulmato, consacré « Sensation de l’année 2017 aux Victoires du jazz.
En résumé pour cette 25ème édition, de l’éclectisme, et du jazz dans tous ses états. Et c’est à Orthez que ça se passe.
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