Elles sont une vingtaine, les entreprises ayant rejoint la Fondation d’entreprises Estia. Des mastodontes, comme le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, Safran Turbomeca, Cofely Ineo (GDF Suez), Dassault Aviation, mais aussi de plus modestes et non moins performantes, comme Elkar, Lauak, Cazenave ou Sokoa.
Toutes réunies dans un but : participer efficacement à l’économie locale.
Ce qu’il faut savoir…
Faire, c’est bien ; le faire savoir c’est mieux, et tendre des ponts entre les entreprises du Pays basque et du Béarn, c’est encore beaucoup mieux. Ce que l’on dénomme désormais le networking, qu’on a été infoutu de traduire autrement que « réseautage » c’est-à-dire la mise en réseau. Une nécessité, et même un devoir, garant d’efficacité et de carnets de commandes garnis.
Ce que résume Emeric d’Arcimoles, président de la Fondation, conseiller du président de Safran et commissaire général du Salon aéronautique du Bourget : « Pour restaurer la compétitivité et le dynamisme de notre économie, pour différencier nos entreprises, la formation de nos ingénieurs est une condition clé. La mobilisation des acteurs économiques sur la formation et la recherche est un devoir. L’activité de notre Fondation n’est pas une question de confort ou de complaisance, c’est une question vitale. J’invite les entreprises citoyennes de notre territoire à rejoindre notre Fondation. »
Et ça marche ! Parmi les derniers à avoir entrepris la démarche, on trouve le bureau d’études Elkar, de Mauléon qui « s’engage financièrement et moralement sur plusieurs années pour orienter, développer et évaluer les activités de l’ESTIA. Cette coopération représente un levier pour l’internationalisation du campus et pour l’excellence de ses activités de recherche. »
Même raisonnement pour Akira Technologies, une PME d’une vingtaine de personnes sise à Bayonne, qui fabrique des machines d’essais spéciaux, déjà membre d’ESTIA Innovation.
Vous vous sentez un peu seul ? Vous pensez qu’en réseau on fonctionne mieux ? Vous avez besoin de visibilité ? Vous voulez aider l’économie locale ? Vous savez quoi faire désormais…
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire