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AMBASSADEURSSamuel Bernet, furYeusement engagé !

La boisson énergisante Furya est fabriquée dorénavant à base d’ingrédients et d’arômes d’origine naturelle, avec une recette unique et innovante (caféine naturelle et extraits de spiruline bleue et de thé vert notamment). Recette certifiée Bio par Ecocert.
Photo d'une canette furya
La boisson est de fabrication pyrénéenne et à base d’eau oligo-minérale de haute montagne, ce qui la rend unique au monde. Pour ceux qui cherchent boost, plaisir mais se soucient à la fois de leur santé et de la planète.

L’histoire débute en 2010 lorsque Samuel, se définissant lui-même comme globe-trotter professionnel, revient s’installer dans son Béarn natal, pour y fonder sa famille. À l’époque déjà, il souhaite créer une marque ancrée dans la région autour d’un produit et d’un univers qui lui seraient proches. « Pour faire court, je voulais mettre du rock’n’roll dans les Pyrénées et que ça puisse raisonner dans le monde entier… » L’idée était là, mais le vrai déclic ne survint qu’en 2016 : ce consommateur forcené d’Energy Drinks, ou boissons énergisantes, réalisa soudain que l’offre française était bien « molle » et inadaptée à ce marché cependant porteur. D’un coup, ça se mit à pétiller dans son cerveau : voilà ! La région serait un terrain de jeu idéal pour une marque de boissons énergisantes qui communiquerait au travers de sports extrêmes. Après, plusieurs mois d’études du projet, la marque Furya voyait ainsi le jour et était lancée au niveau local en 2017. Malgré des moyens restreints, la marque a réussi à développer un réseau fidèle de distributeurs locaux. Envie d’en savoir davantage ? Suivez-nous, Samuel Bernet a accepté de nous raconter…

GH : Énergy drink et HQE, normalement, ça ne va pas vraiment ensemble ! En quoi Furya est différent et parvient à être la meilleure ?

Samuel Bernet (S.M.) : Oui, normalement "ça ne va pas ensemble"  C'est pourquoi nous voulons devenir un acteur qui compte dans l'univers de l’energy drink en le réconciliant avec une consommation responsable.  Nous revendiquons Furya comme un energy drink : elle apporte plaisir et boost, elle a une image forte autour des sports extrêmes et de la fête. 
Au-delà, nous apportons une démarche globale de responsabilité tant au niveau du produit (ingrédients naturels bio, eau oligo-minérale) que de sa chaîne de production (énergie verte, usine HQE, démarche RSE...). 
Notre ambition est de créer de la richesse dans notre territoire, en exploitant respectueusement et durablement ses ressources. 
Furya veut porter une autre facette des Pyrénées :
furYeusement naturelle ! 

GH : L’indépendance, qu’est-ce que ça signifie ?

S.M. : Cela signifie de pouvoir faire des choix forts et de pouvoir résister à des tentations de simplicité, de facilité et de logique purement financière à court et moyen terme (ex. résister à tout syndrome de délocalisation de la production). L'indépendance c'est aussi savoir s'affirmer dans son univers "energy drink".

GH : Combien de personnes composent “l’Univers Furya” ?

S.M. : Nous sommes 3 associés-collaborateurs. Nous faisons appel à des "consultants" externes pour certaines actions commerciales. Plus nos sous-traitants et partenaires industriels.

GH : Vos projets d’avenir…

S.M. : L’extension de la gamme Energy Drink, avec deux ou trois saveurs et variantes, mais aussi le développement d’une gamme de boissons dites fonctionnelles. On pense aussi à l’export, évidemment…

GH : Comment la/les crise(s) actuelle(s) vous affectent-elles ?

S.M. : Il y a des tensions sur certaines matières premières par effets de ricochet et dominos complexes, une augmentation des coûts de transport, etc. Surtout on déplore beaucoup de retards de la part des sous-traitants (Covid, report de certaines décisions et opérations, attentisme, crises diverses, tensions et ruptures de matières, et une latence globale…)

GH : La RSE et Furya ?

S.M. : FURYA S.A.S porte une Vision et lui donne sa réalité en inscrivant l’ensemble de son process dans une démarche globale alliant développement durable et nouvelles expériences consommateurs.

De la conception des produits à leurs ingrédients, leurs modes de production, leur emballage et leur transport, nous cultivons le sens et les valeurs fondatrices de notre engagement : offrir au plus grand nombre des boissons énergisantes respectueuses de l’environnement et des consommateurs.

Notre vision est de faire le pari de la Qualité naturelle de l'Eau des Pyrénées, des ingrédients Bio mais aussi du RSE, de la HQE, dans du « fait en France ». Notre objectif est de créer une richesse locale dans une synergie avec des partenariats autour d'un univers attractif. 
Par cela, nous tenons à mettre en valeur le territoire au travers de ses acteurs, de ses richesses naturelles, de son offre de sports, de ses infrastructures. 
Notre rêve ? Au-delà des emplois directs et des retombées des ventes dans notre région, parvenir à instituer une marque active et positive avec des pôles de sports extrêmes, des créations d’événements, des investissements structurels, un soutien et une mise en lumière des acteurs. 

Nos choix RSE concrets se trouvent à tous les niveaux, dans la conception, la production mais aussi le choix des sous-traitants et des partenaires.
Nous avons aussi fait des choix RSE dans nos emballages :


- Boîte alu Sleek 100% recyclable, plus légère, moins gourmande en matière qu’une boîte traditionnelle de même contenance (5% de gains)
- Abandon des PET (bouteilles plastiques)

- Éco-conception des colisages et suremballages : fabriqués en carton recyclé et 100% recyclables (encres spéciales permettant un recyclage intégral).

Dans la production, nous avons :
- mi au point une recette avec un max d'ingrédients bios sourcés en France,
- Nous travaillons avec une usine d’embouteillage HQE située dans les Pyrénées françaises à 500m de la source,
- C’est une usine « zéro rejet »,
- Reliée à un système de ferroutage,
- Utilisé une énergie verte locale : emploi d’hydroélectricité provenant d’une unité située à 700m du site.
- choisi des fournisseurs français d’ingrédients naturels
- Une démarche RSE globale et une recherche de fournisseurs locaux et produisant en France pour nos services
et produits (PLV, informatique, logistique...)

GH :  Une question que j’ai oublié de vous poser et à laquelle vous teniez pourtant à répondre ?

S.M. : La RSE, s'impose d'elle-même si on fait preuve de bon sens dans l'offre du produit, dans sa fabrication, dans sa conception. Comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Ce ne doit pas être une posture a posteriori. Rien n'est parfait, mais choisir un vrai fabricant français de matériel publicitaire par exemple, c'est être sûr que ce fabricant respecte les législations françaises en termes de travail, paye ses impôts en France, etc. Et faire faire 200km à un paquet est plus écologique que 2.000km si ça vient de Pologne ou 8.000km si c’est chinois... En additionnant ce genre de choix sans regarder les quelques centimes de plus, on peut avoir un impact sur la responsabilité sociétale et environnementale et donc faire de la RSE !

Il ajoute que la sortie de Furya 2.0 est prévue pour début 2023. Pas besoin d’attendre jusque-là : on est déjà furYeusement fans !

Gracianne Hastoy

Commentaires (1)


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Anna Schechochikina
il y a 7 mois -
Je voudrais rajouter les informations importantes sur Furya Energy. La cofondatrice de cette société, Anna Novikova Bernet, mène SOS Donbass basée à Pau, France. C'est une organisation avec plus que 6 mille d'abonnés sur Facebook qui se focalise sur la dissémination de la propagande du régime russe en France. Parmi les membres de cette organisation sont des agents affiliés avec le FSB. En profitant de la liberté d'expression, elle essaye de justifier l'occupation des territoires ukrainiens par la Russie. Elle ment que l'armée ukrainienne bombarde le Donbass alors que tout le monde sait que c'est la Russie qui l'avait bombardé depuis 2014. Elle manipule des enfants ukrainiens alors que la Russie en avait déporté 20 mille depuis le début de l'invasion en 2022. Elle voyage aux territoires occupés de l'Ukraine et appelle la "libération" la destruction et l'occupation de Mariupol. Finalement, elle collecte des fonds sur le compte bancaire russe sanctionné.

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