Commençons par Philippe Katerine (aux Nouveautés, le 6 février), le ludion qui ici va présenter son spectacle en deux parties, tout d’abord une lecture musicale du livre Ce que je sais de la mort, ce que je sais de l’amour, écrit et dessiné par lui, qui s’intègre au film du même nom.
Il sera suivi des Frères Philippe, enchaînant réflexions, improvisations et danses autour de chansons. Déroutant, sans doute, mais aussi passionnant… et instructif.
Le 9 mars, à La Gespe, place au Tagada Jones, à son punk hardcore, à son spectacle rodé à travers 25 pays et 1.800 concerts, présent sur scène depuis vingt ans, à la voix de Niko, à son chant enragé, à ses textes militants, à la tête (avec No One Is Innocent) de la scène punk hardcore française. Ils viendront à Tarbes présenter leur dernier opus, La peste et le choléra.
Continuons avec le 13 avril (La Gespe) les Tambours du Bronx, pour un show spécial metal, avec l’invitation de métalleux comme Franky Costanza (Dagoba), Reuno (Lofofora), Stéphane Buriez (Loudbast). Un nouveau spectacle, annoncé tout en énergie, dans la lignée de leurs concerts avec Sepultura.
Le 5 mai, à La Gespe, on ne manquera pas Flor del Fango, un groupe composé de membres issus de la scène rock alternative des années 80, tels la Mano Negra, Parabellum, Chihuahua, les Frères Misère, réunis autour d’un projet musical latino engagé auprès des Zapatistes du Chiapas mexicain. On y retrouvera la chanteuse madrilène Marucha, et un certain Chao, le frère de Manu, et cousin de Santi.
D’autres dates sont prévues, avec en vedettes Davodka (10 février), L’Entourloop (23 mars), Nexo Light Orchestra (31 mars), Dooz Kawa (7 avril), le trio In Side (19 mai), Chanson Plateau Midi-Pyrénées (1er juin) et Mad Sin (8 juin).
L’ensemble de cette programmation correspond parfaitement aux objectifs de La Gespe : promouvoir et diffuser les musiques actuelles. Un bel endroit, vraiment !
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