Qu’est-ce qui vous a convaincu de participer à cette démarche ?
Didier Laporte – J’ai aussitôt adhéré complètement à l’esprit de ces Coups de pouce. A la volonté de favoriser une telle communication solidaire en faveur de nos TPE et PME qui ont souvent besoin d’être mieux connues et reconnues. Ne serait-ce que parce qu’elles peuvent ainsi trouver des débouchés ou des opportunités sur le territoire. Cette mise en lumière est le premier coup de pouce à leur apporter, peut-être le plus efficace.
Cette solidarité est-elle importante ?
D. L. – Bien sûr. Ces Coups de pouce constituent une action à la fois responsable et solidaire, qui va au-delà des aides traditionnelles. Je crois beaucoup au « made in local » et à l’importance de donner l’occasion aux petites entreprises d’avoir plus de visibilité, de se faire connaître des écosystèmes du territoire, et d’ouvrir ainsi de nouveaux marchés ou de nouvelles collaborations de proximité. Cette dimension locale mérite souvent d’être mieux exploitée, d’autant plus qu’elle est moins coûteuse que la conquête de marchés ou la recherche de partenaires plus lointains. Inciter les lecteurs à donner eux-mêmes leurs propres coups de pouce, ne serait que par des encouragements, est aussi une bonne manière de lutter contre la solitude du chef d’entreprise.
Que peut y puiser un dirigeant ?
D. L. – Cette démarche nous intéresse parce qu’elle va dans le sens même de la vocation des chambres consulaires, avec cette mise en réseau, cette mise en contact. Nous sommes en quelque sorte le service après-vente de l’annuaire. Avec les articles coups de pouce, chacun va pouvoir découvrir des femmes et des hommes qui agissent, qui créent, qui se battent avec leurs équipes. Un chef d’entreprise n’est pas fait pour chercher des aides, des subventions. Il est fait pour développer des activités, mobiliser des collaborateurs pour apporter des services, faire tourner des machines… faire du chiffre d’affaires. Tout ce qui peut faciliter son travail et celui de ses équipes est essentiel. Je suis donc absolument convaincu de la pertinence de cette démarche 1500 Coups de pouce.
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1500 COUPS DE POUCE, vu par… Didier Laporte
Le président de la Chambre de commerce et d’industrie Pau Béarn n’a pas hésité à s’associer immédiatement à cette démarche qui « s’inscrit parfaitement dans les missions d’une chambre consulaire ».
Pendant cette période de lancement des 1500 COUPS DE POUCE, PresseLib’ donne la parole à différentes personnalités, à commencer par Didier Laporte, chef d’entreprise particulièrement engagé au service de l’économie locale.
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